Victime d'un manipulateur ?
Comment reconnaître un manipulateur : Faites le test maintenant !
Si vous pensez avoir une vie pourrie, sachez que c’est vous qui en êtes responsable… Car au fond, si votre vie est pourrie, c’est parce que vous le voulez bien…
Introduction provocatrice ? Oui, un peu… et c’est fait exprès, parce que je voulais attirer votre attention sur une idée passionnante. Cette idée pourrait bien changer des choses dans votre vie :
Alors restez avec moi jusqu’à la fin de cet article.
L’idée dont je veux vous parler aujourd’hui, c’est une idée que j’ai déjà abordée sur mon blog. Mais j’aimerais enfoncer le clou, tellement cette idée me semble importante.
Il s’agit d’un concept qui vous aidera à vous affirmer, bien sûr… mais c’est aussi bien plus que cela. Je pense que ce concept vous aidera dans votre vie en général. Il vous aidera à avancer (enfin ?) dans votre vie. Il vous aidera à voir la vie de façon plus positive.
Avant de vous expliquer ce concept, j’aimerais que vous preniez une feuille et un crayon, puis que vous notiez sur cette feuille toutes les choses que vous pensez DEVOIR faire dans votre vie.
Par exemple :
« Je dois me lever tous les matins pour aller travailler. »
« Je dois travailler dur pour réussir. »
« Je dois faire réciter leurs leçons à mes enfants. »
« Je dois faire à manger pour ma famille. »
« Je dois bien m’habiller au travail. »
« Je dois obéir à mon chef alors que c’est un con. »
Prenez un chronomètre, réglez-le sur 3 minutes.
Vous avez 3 minutes pour lister le plus vite possible chacune des idées qui vous viennent en tête quand je vous demande :
« De quoi êtes-vous OBLIGÉ dans votre vie ? »
Prêt ? PARTEZ !
Si vous lisez cette ligne, c’est que vous avez écrit votre liste. Super !
Maintenant je vais vous demander de choisir dans cette liste les 3 choses qui vous pourrissent le plus la vie ? Lesquelles des obligations de cette liste vous ennuient le plus ? Desquelles aimeriez-vous être débarrassé ?
Réglez le chronomètre sur 1 minute. Vous allez choisir les 3 obligations les plus difficiles à supporter pour vous…
Prêt ? PARTEZ !
Maintenant que vous avez pris 5 minutes pour réfléchir aux choses qui vous pourrissent le plus votre existence (Si vous ne l’avez pas encore fait, faites-le tout de suite, ça peut changer beaucoup de choses pour vous !), je vais vous montrer que ce que vous pensez être une obligation n’est bien souvent (toujours?) qu’un choix.
Mais ce choix est caché. Il est inconscient, vous l’avez fait sans vous en rendre compte. Et c’est pour cette raison que vous croyez avoir affaire à une obligation.
Ensuite je vous montrerai pourquoi il est si important de prendre conscience que nos obligations sont en fait des choix.
Vous l’aurez compris, le concept dont je vous parlais au début de cet article est le suivant :
« Même si nous pensons être OBLIGÉS de faire quelque chose, il existe toujours une ALTERNATIVE. Et même si cette alternative ne nous plaît pas, nous avons le CHOIX. »
Pour vous en convaincre, je vais reprendre quelques unes des phrases ci-dessus, et vous montrer qu’il existe des alternatives que nous oublions souvent.
« Je dois faire réciter leurs leçons à mes enfants. »
Si vous faites réciter leurs leçons à vos enfants, c’est parce que vous avez CHOISI de leur donner le meilleur. Vous avez DÉCIDÉ de faire votre maximum pour qu’ils réussissent leur scolarité, et plus tard leurs études et leur vie.
Pourtant vous avez une autre ALTERNATIVE; vous pourriez choisir d’utiliser ce temps pour d’autres choses : regarder la TV, feuilleter votre nouveau magazine, ou vous curer les ongles…
Mais vous avez CHOISI de vous occuper de vos enfants.
En prenant conscience qu’il s’agit d’un choix de votre part, vous vivrez mieux la prochaine fois que vous « devrez » leur faire réciter leurs leçons, même si vous êtes déjà épuisé par votre dure journée de travail… Et vous pourriez y prendre plus de plaisir, parce que vous vous rappellerez alors que c’est VOUS-MÊME qui avez décidé d’aider vos enfants.
« Je dois travailler. »
Cela va peut-être vous étonner, mais là encore, il s’agit d’un choix.
Si vous avez CHOISI de travailler, c’est pour gagner honnêtement l’argent qui vous permet de remplir votre caddy.
Il existe pourtant des ALTERNATIVES. Même si celles-ci ne vous sautent pas aux yeux…
Vous pourriez par exemple réduire votre train de vie, et profiter de l’argent de votre conjoint. Ici, la question n’est pas de juger si cette alternative est « bonne » (juste, honnête, supportable, etc.), ou pas. Il s’agit simplement de comprendre que vous avez CHOISI de mettre cette alternative de côté.
Je me rappelle un voyage à Union Island, une petite île dans la mer des Caraïbes. Quelque part, à 200m du rivage, se trouve un îlot rocheux minuscule. En m’aventurant sur cette îlot que je pensais désert, j’ai fait la connaissance de James. (Je ne suis plus tout à fait sûr de son prénom.) Ce qui m’a sauté aux yeux chez James, c’est son mode de vie. James vit seul sur son îlot, il se nourrit de mollusques qu’il pêche à proximité de son îlot. Et il échange des coquillages auprès des touristes, contre du riz, des magazines, ou un peu d’argent. Voilà sa vie.
James a choisi ne ne pas travailler. James a choisi un mode de vie bien différent du nôtre. Avec tous ses avantages. Et aussi tous ses inconvénients. Et dans le fond, vous savez bien que nous pouvons tous faire comme James. Nous pouvons tous choisir un mode de vie différent, et marginal. Nous avons tous le CHOIX de faire comme lui.
Dans ce cas nous devrons juste accepter de nous passer de notre confort : pas d’alimentation variée, pas de douches, pas de sécurité sociale, pas d’électricité, pas de télévisions, pas d’I-Phone…
Vous voyez bien que si aujourd’hui vous travaillez (ou cherchez un travail), c’est parce que vous avez CHOISI de vivre dans ce confort… (Il faut comprendre le mot « confort » dans un sens très large. Un toit sur la tête, et des pâtes chaudes dans son assiette, c’est déjà un certain confort par rapport aux personnes qui n’ont malheureusement ni toit ni repas.)
J’espère vous avoir convaincu que chaque chose (ou presque ?) que nous pensons DEVOIR faire dans notre vie, correspond en fait à un CHOIX que nous faisons.
Je disais tout à l’heure que je trouve important de prendre conscience de ce concept. Je trouve essentiel de réaliser que nos obligations sont en réalité des choix. Et voilà pourquoi :
Cette notion de choix nous permet de mieux accepter ce que nous vivons. Et elle nous permet de comprendre que nous pouvons faire changer les choses d’une façon ou d’une autre, si celles-ci ne nous conviennent pas.
En effet, à partir du moment où vous êtes d’accord avec ce concept, vous avez plusieurs possibilités :
- Soit vous réalisez qu’aucune alternative ne vous convient (parce que vous trouvez ces alternatives mauvaises, malhonnêtes, illégales, paresseuses, inacceptables, etc.). Et dans ce cas vous aurez pris conscience que votre soit-disant obligation n’est pas vraiment une obligation, mais plutôt un CHOIX que vous faites. Et vous aurez compris que ce choix n’est pas si mal, au fond, parce qu’il est conforme à vos valeurs.
- Soit vous réalisez qu’une (meilleure) alternative serait possible si vous vous en donniez les moyens.
Par exemple, si vous vous dites : « Je dois travailler pour ce patron alors qu’il est ignoble avec moi. », alors vous pourriez maintenant vous dire : « Je pourrais CHOISIR de chercher un autre travail, même si cela exige un déménagement (à l’étranger). »
Vous le voyez, des alternatives existent à notre situation. Quand nous sommes dans une certaine situation, c’est donc bien souvent parce que nous en faisons le choix (inconscient).
Et puisque nous sommes RESPONSABLES de nos choix, nous sommes aussi responsables de notre situation.
Par conséquent, nous n’avons plus d’excuses pour nous plaindre !
Je viens de le dire, nous sommes RESPONSABLES de notre situation.
Si celle-ci ne nous convient pas, c’est donc à nous de la faire changer !
A ce moment-là, nous avons deux choix possibles :
- Soit nous décidons de continuer à nous plaindre. L’avantage, c’est que cela est agréable ; ça soulage et ça permet d’attirer la sympathie et la compassion des amis. « Ah ! Mon pauvre ! Je te plains ! »
- Soit nous décidons de changer les choses. Et dans ce cas nous réfléchissons aux prochaines actions que nous allons mettre en place pour avancer vers notre but.
Dans votre cas personnel, quelles sont les problèmes qui vous pourrissent l’existence ?
Qu’est-ce qui vous semble OBLIGATOIRE dans votre vie, et ne vous convient plus ?
Que pourriez-vous faire pour solutionner ces problèmes ? Pour mettre fin à cette souffrance que vous avez crue « OBLIGATOIRE » ?
Par exemple, si vous pensiez DEVOIR supporter les comportements d’un manipulateur dans votre entourage, vous pouvez décider tout de suite de prendre les choses en mains. Il est temps d’agir pour vous libérer de son emprise : se libérer d’un manipulateur…
Si vous pensiez DEVOIR supporter un collègue, il est temps de réaliser qu’il existe des moyens de vous affirmer face à ce collègue. Vous pouvez apprendre à refuser ses demandes ; vous pouvez apprendre à donner votre avis sans déclencher les hostilités ; vous pouvez même lui faire des demandes qu’il acceptera.
Vous pouvez faire le choix d’agir. Pour apprendre à vous affirmer, vous pouvez commencer par ces exercices : exercices pour s’affirmer.
Il est possible que vous ayez pris la décision d’agir, mais que vous restiez paralysé malgré tout… Les raisons à cela, ce sont peut-être vos croyances, vos peurs (peurs du conflit, etc.), votre manque d’estime et de confiance en vous ? Dans ce cas, cette méthode va vous intéresser : La méthode pour ne plus rester paralysé(e) quand vous voulez vous affirmer.
Vous souhaitez connaître une technique toute simple pour vous aider à comprendre quels choix se cachent derrière vos « obligations » ?
Alors téléchargez tout de suite la fiche résumé de cet article.
Dans cette fiche, vous trouverez l’exercice complet :
Valerie Navarro écrit :
Je suis d’accord mais qu’en est-il des choses que nous ne pouvons pas changer une maladie par exemple? On peut sûrement améliorer notre situation mais la maladie reste et nous est imposé
Remi écrit :
Bonjour Valérie,
Je parle ici surtout des choses que nous pensons devoir FAIRE.
Ceci dit, même face à la maladie nous avons le choix entre deux façons de nous comporter :
– être une victime et « profiter » de cette maladie pour avoir l’attention de notre entourage;
– être positif, nous battre, regarder ce qu’on peut ENCORE faire et apporter aux autres.
Prenez l’exemple de Philippe CROIZON qui a relié les 5 continents à la nage, sans bras ni jambe.
Même devant son lourd handicap, Philippe avait le choix :
– soit se plaindre de son sort…
– soit montrer à tout le monde qu’il était encore capable d’accomplir de grandes choses, à condition d’en prendre la DECISION et d’en avoir la VOLONTE.
A bientôt,
Rémi
Valerie Navarro écrit :
Bonjour Rémi
Je comprend vos arguments , on peut prendre le parti de faire au mieux avec ce qu’on a et avoir ainsi une meilleure qualité de vie une vision plus positive de notre avenir de la dignité aussi mais est-ce tout ça ça va suffire a construire notre bonheur ? Le gars sans jambes et sans bras oui il a réussi une magnifique performance mais quand il rentre chez lui le soir a part une certaine fierete ca lui sert a quoi au juste? Il peut pas passer le reste de sa vie a nager ! Alors le reste du temps il doit sûrement bien un peu déprimer non ? Et se dire que la plupart du temps sa vie quand même elle est un peu pourrie non?
Remi écrit :
Valérie,
Effectivement sa vie ne doit pas être évidente au quotidien, et je pense qu’il est plus difficile d’être positif quand on est gravement malade (ça me semble logique, et légitime).
Pour compléter ce que je dis plus haut :
Nous pouvons toujours rendre notre vie plus pourrie en nous lamentant sur les choses que nous ne pouvons pas changer…
Et nous pouvons toujours l’améliorer en agissant sur les choses que nous pouvons changer… (même si c’est difficile et que nous partons de très loin)
Rémi
yo' écrit :
Bonsoir, je viens de tomber sur votre site par hasard en cherchant à savoir comment contre manipuler un manipulateur, et je le trouve génial génial !!! Là je suis entrain de dévorer tout vos articles.
De par mon expérience avec un pervers narcissique, je ne peux que vous féliciter de votre description du « phénomène » .
Mais surtout je vous remercie du fond du coeur, parce que vos mots me sont d’une grande aide. Jamais sur le net, un site ( blog ? ) m’a autant passionné et aidé.
Bonne continuation et continuez à écrire..
Remi écrit :
Merci de votre commentaire 🙂
Et bienvenue sur mon site !
Rémi
Emilie écrit :
ARTICLE STUPIDE. J’y crois pas d’avoir perdu mon temps à lire cette grosse merde pondue par un idiot ayant surement une vie sans VERITABLES problèmes.
Remi écrit :
Bonjour Emilie,
Vous N’AIMEZ PAS cet article, et pourtant vous avec fait VOUS-MÊME le CHOIX de le lire jusqu’au bout.
Commencez par vous sentir plus RESPONSABLE de ce qui vous arrive, et vous verrez que les choses iront déjà mieux…
JE SUIS écrit :
LOL ET LOLLLLLLLLLLLLLLLLLL
Si vous pensez avoir une vie pourrie, sachez que c’est vous qui en êtes responsable… Car au fond, si votre vie est pourrie, c’est parce que vous le voulez bien !
Ceux qui crèvent de faim ,sont à la rue, malades à en crever ne seront pas heureux de lire cela. Leur vie pourrie ils ne l’ont pas choisi, si c’était si facile ,ils n’en seront pas à souffrir jusque leur mort , ce bas monde est injuste et c’est la faute des êtres inhumains !
Pierre écrit :
Lol !
Comment dire n’importe quoi avec du n’importe quoi
Non mais juste le début suffit, nul besoin de tout lire.
L’humain fait en fonction du système sociale et économique alors pas la peine de les blâmer pour vous donnez un genre c’est ridicule.
Sabrina écrit :
Je trouve ça complètement déplacer de dire au gens que c est de leur faute qu il s’on une vie pourri a sachant que vous savez pas se que les gens on vécu dans leur vie je me suis même pas donner la peine de lire la suite de l article le début ma juste écœuré.
De passage écrit :
Je trouve cet article un peu simpliste. Au premier abord on pourrait être d’accord avec cette philosophie du CHOIX et je comprends votre démarche qui consiste en quelques sortes à aider les Hommes. Mais en réalité c’est surtout une façon d’accentuer le mal être de certaines personnes, c’est dire d’une certaine manière « hého le dépressif, tu as choisi cette vie de merde, on a toujours le choix ». Je pense qu’il faut tout simplement accepter d’être malheureux et qu’on ne peut pas toujours tout avoir, pourquoi vouloir être heureux à tout prix ? Et si aucune alternative convient ? Et si la philosophie du désespoir était un remède ? Parfois se dire qu’on est rien, qu’on y arrivera pas, qu’on est nul… peut nous aider à amortir le choc. Quand on attend rien de la vie, il y a pas de risque d’être déçu.
Marguerite écrit :
Bonjour,
J’ai une vie pourrie et votre article est vraiment inutil,
Vos méthodes de confiance en soi, vous pensez que les gens sont dupes,
La vérité, c’est que la vie, c’est de la merde que tout le monde est méchant et
que dans la vie y a que nous qui sont tout seul contre tous et que tant qu’on se bougera pas,
on risque de se suicider ou de finir amorphe et gros comme moi,
Maintenant bonjour chez vous et j’en profite pour dire une seconde vérité : « les médecins ne sont que des cons
qui croient tout savoir alors qu’ils sont pire que nous » voilà, adieu et revoyez votre article.
A écrit :
Humm.. exemples intéressants mais à mon tour de poser une question : en cas de problèmes très graves qu’elles ne sont pas en mesure de résoudre ? (par exemple j’ai vu le cas de personnes vivant d’une allocation et ne pouvant etre en couple avec la personne qu’elles aiment celle ci travaillant et n’ayant pas les moyens d’entretenir son conjoint, c’est une situation extremement difficile au vu des temoignages sur le site faire face notamment, il y a aussi les gens jugés « trop vieux » et coincés dans la précarité avec une dépression (ce qui est très difficile et long à soigner) – sans plus avoir l’energie de leur 30 ans pour trouver une solution d’independance financiere viable, des couples vivant dans la peur parce que leur compagne ou compagnon est etrangere, ou encore des personnes psychiquement vidées par un lieu de vie ou leur conjoint(e) ou famille et tout ceci sans aide exterieure viable, d’autres encore n’ayant pas l’energie à un age avance d’affronter chomage et reconversion (quand on ne leur claque pas la porte au nez à cause d’une date) et vegetent jusqu’à la fin dans un boulot qui les vide et c’est ça ou la rue à moyen terme, ou ceux qui n’ont aucun soutien familial mais une ribambelle de cousins qui attendent de récupérer leurs biens à leur mort, que repondriez vous dans ces cas ? changer de rideaux, remplacer les nouilles par des patates aux chandelles et faire du yoga ? Sur les blogs et forums j’en ai lu des situations bloquées et pourries, un empechement en entrainant souvent un autre, les gens peuvent changer en quelques années ou decennies de situations qui les usent et sont pourtant moins pires que leurs alternatives (renoncer à sa place, à une statut de salarié pour un statut d' »assisté » qui n’a meme pas le droit d’heberger des amis, renoncer à la personne qu’on aime ou à un lieu de vie dans lequel on se ressource, etc), et vraiment à ce stade je ne sais pas ce qu’il leur reste de soi à affirmer, ni comment ça suffirait à leur rendre une vie meilleure dans une societe avec de tels fonctionnements. On peut toujours se refugier un temps dans sa bulle, mediter, trouver encore la force de croire qu’on vaut encore du respect ou des reves mais il y a des contextes où ça semble tout bonnement impossible sans une certaine dose d’inconscience pure et simple et sans vivre seulement et en tout et pour tout au jour le jour. Et pour avoir eu moi meme des passages pénibles en faisant connaissance avec le chomage et la precarité et voyant se refermer le passage à mesure que je vieillissais, je peux dire que ce n’est guere compatible avec l’etat d’esprit spirituel et creatif necessaire à une evolution de fond et ne permet pas de simplifier sa vie, meme en la reorganisant, et s’affirmer sous cette pression.
Finalement oui, pour la plupart des gens y compris moi meme, s’affirmer sous la pression et linquietude du lendemain, ça c’est le défi.
Moi écrit :
Hello,
Je vois où vous voulez en venir. On peut explique de la sorte pas mal de situations pourries.
Pour ma part, ce qui me bouffe le plus la vie depuis 10 ans est de vivre dans un endroit où je me sens mal (pas de vue, vieillot, étouffant et j’en passe). Apres la lecture de votre article je vois comment j’ai pu accepter de m’embarquer à louer cet endroit dont il m’est impossble de repartir mes finances ne me permettant pas de trouver mieux, plus exactement le genre d’endroit dans lequel on a envie de rentrer et de se reveiller et commencer sa journée (celui ci me sape tout mon energie, tout ce qui pouvait etre fait dans la limie des finances et des possibilotés personnelles pour l’améliorer l’a été mais je ne m’y adapte tout simplement pas). Cela dit ça devient de pie en pire je suis à bout de nerfs ça s »ajoute à d’autres problemes auxquels d’autres sont venus s’ajouter et je n’arrive pas à me ressourcer. Seulement voilà j’aurais chois ça ou la rue, ça ou renoncer à ce que je tenais à garder à tout prix, ça ou trouver plus propre et plus pratique mais dans un quartier pourri, etc… Bref on ne s’en sort pas 🙂